C'est clair que lorsque l'on a vu un vrai zombie, loin des écrans et dessins sur lesquels on a l'habitude de les voir, inoffensifs et presque comiques sur le glacé du papier...<br />
Il y a cette peur irrationnelle lorsqu'on est face à une personne irrationnelle elle-même, dont on n'attend pas de réactions humaines mais d'autres, primitives, instinctives, rapidement dangereuses...<br />
C'est là qu'on arrive à admirer ceux qui arrivent à relativiser sur des choses difficiles, car vécues.<br />
(je pense à Desproges qui avait fait un sketch sur son cancer...plein d'humour, plutôt que pleurs.)